Le réseau Hartmann, au
même titre que le réseau Curry, fait partie du réseau
cosmo-tellurique qui entourerait la Terre.
L'existence de ce réseau
est une des théories de la géobiologie qui est l'étude de
supposées influences de l'environnement sur le vivant, et notamment
des ondes liées aux champs magnétiques, courants d'eau souterrains,
réseaux métalliques, failles géologiques, etc.
Les travaux sur le rayonnement
tellurique ou rayonnement cosmo-tellurique relèvent de différentes
approches en particulier de la recherche empirique pour trouver les
causes de maladies ou de syndromes globaux pour lesquels aucune
explication « locale » ne donne satisfaction.
Dans les années 1935, alors qu'il
est encore étudiant en médecine à l’Université de Heidelberg en
Allemagne, celui qui allait devenir le Docteur Ernst Hartmann émet
l’hypothèse qu’un réseau quadrillé électromagnétique de
courants dits telluriques couvrirait l’ensemble de la surface
terrestre. Il aurait observé que certains lits d'un hôpital
présentent une plus grande propension aux troubles de la santé que
d'autres (mais sur cela, des tests statistiques rigoureux font
défaut; par ailleurs, la date fournie pour ces observations place
celle-ci à une date où Hartmann était étudiant en médecine, ce
qui interdit de croire qu'il ait pu mener des expériences contrôlées
sur le sujet). Après avoir inversé les lits, il en serait venu à
émettre l'hypothèse que ce n’était pas le lit qui était en
cause mais son emplacement. Il en vint donc à invoquer le rôle des
ondes terrestres. En clair, si un patient en état critique se voit
affecter le lit 2 alors il meurt alors qu’il aurait été sauvé
sur les lits 1 et 3 – ceci en terme statistique (mais on ne sait
sur quels échantillons statistiques validés une telle observation
aurait pu être menée, et aucune expérience ne saurait être menée
sur ce type d'issue). [réf. nécessaire]
Il postule alors l'existence des
"murs d'ondes" verticaux d’une largeur de 21 cm orientés
nord-sud et est-ouest, dits "ondes telluriques" (terme qui
n'a pas le sens qu'il avait déjà en géophysique), et dont aucun
instrument étalonné ne peut mettre l'existence en évidence. Leur
intersection avec la surface du globe constituerait un maillage -
traits bleus sur l'image.
Représentation d'un réseau Hartmann
Il couvre toute la surface terrestre.
Il forme un immense filet plus ou moins régulier qui monte
verticalement. Il n’est pas détectable au bord de la mer (présence
du sel). Le réseau Hartmann comporte des plafonds espacés
verticalement de 2,50 m. Il fait penser à un empilage de boîtes en
carton. Il se resserre au voisinage des cours d’eau souterrains.
Une pierre placée sur un vortex
déforme le réseau Hartmann. Son implantation peut se décaler
latéralement jusqu’à 0,80 si le compteur électrique placé sur
un nœud Hartmann est enclenché ou non.
Ses cloisons peuvent se dilater de 21
à 100 cm, 24 heures avant un tremblement de terre.
Ce phénomène résulte probablement
de l’effet piézoélectrique dû à la compression des roches.
Un réseau H dont le tracé est
régulier et dilaté témoigne d’une bonne qualité biotique.
Inversement, si le lieu est perturbé,
il apparaît resserré et déformé. Le réseau Hartmann est sensible
à l’électricité.
Précisons que l’intensité des
rayonnements du réseau Hartmann varie suivants les heures de la
journée, en fonction des positions de la lune et du soleil. Ø Le
maximum se situe entre minuit et 2 heures du matin. Ø Le minimum se
situe entre 5 et 7 heures puis entre 17 et 19 heures. Les cloisons
Hartmann, donc leurs croisements, ne montent pas nécessairement
verticalement, mais parfois de manière franchement oblique.
Un nœud Hartmann à la verticale
d’un court d’eau sera plus agressif. Georges Prat associe ce
réseau au Nickel. Le chat, les abeilles et les fourmis recherchent
les nœuds « H » chaque metal ayant une resonnance magnetique,
comme le corps humain.
Le nœud de Hartmann aurait la taille
d'une assiette. Pour ceux qui croient à son existence, il ne s'agit
donc pas de se protéger de l'ensemble des ondes mais de veiller à
ne pas avoir son lit ni son poste de travail sur un nœud de
Hartmann.
Selon cette théorie, la station
prolongée sur un nœud de Hartmann provoquerait un affaiblissement
de la zone du corps concernée et des fonctions corporelles qui en
découlent. Soit l'organisme verrait directement diminuer ses
capacités, soit il accueillerait des micro-organismes vecteurs d'une
maladie secondaire.
Les mailles du réseau de Hartmann se
resserreraient en particulier lorsqu’il y a une faille importante
dans le sous-sol ce qui s’accompagnerait souvent de l'apparition
d'un cours d’eau souterrain dit « vouivre ».
La présence de certains minerais
entraînerait également une perturbation du réseau et augmenterait
encore les effets nocifs des nœuds de Hartman.
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