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lundi 25 février 2013
Actualité thérapeutique : Accompagnement par les énergies au choc psychologique
Un choc ou un traumatisme sont des choses qui sont parfois, voir même souvent, difficile à vivre et qui peut nous apporter des blocages dans notre façon d’être et d’évoluer, voir des répercutions sur différentes parties de notre corps.
Le but de la thérapie énergétique est un travail qui permet le nettoyage des tensions et des mémoires au niveau du corps, vous permettant de retrouver une vie normale et ainsi progresser dans votre vie.
Vous avez vécu, vous n'oublierez pas votre traumatisme, mais par le soin énergétique, vous vous sentirez plus soulagée par rapport aux blocages que celui-ci aura provoqué en vous.
Cette thérapie n'est pas un traitement médical mais un accompagnement ou un travail en synergie avec celui-ci.
En aucun cas, arrêter votre traitement médical sans l’avis d’un médecin.
Actualité psychologique : j’ai vécu un choc, un traumatisme
Le traumatisme psychique (ou psychotraumatisme) est un terme désignant un type de dommage causé à la psyché après un événement traumatisant. Lorsque le traumatisme conduit à un trouble de stress post-traumatique, les dommages peuvent impliquer des changements chimiques cérébraux, changeant la réponse de l'individu à un futur stress.
Un événement traumatisant peut inclure une seule situation ou un ou plusieurs événements longs et répétés, qui peuvent complètement submerger la capacité de l'individu à intégrer les idées et émotions inculquées lors de cette expérience. Le traumatisme psychique peut conduire à de sérieuses conséquences négatives à long terme.
Le traumatisme peut être causé par une variété d'événements, mais il en existe que quelques aspects communes. Il y a fréquemment une violation des idées reçues de l'individu concernant le monde et des droits de l'homme, mettant ces individus dans un état de confusion extrême et d'insécurité.
Le traumatisme psychique peut s'accompagner d'un traumatisme physique. Les causes et dangers typiques du traumatisme psychique peuvent inclure - abus sexuel, harcèlements, violence conjugale, endoctrinement, victime de l'alcool, menace ou témoin d'un événement marquant, particulièrement durant l'enfance. Des événements naturels tels que les séismes et éruptions volcaniques, les guerres ou autres violences aggravantes peuvent également contribuer à un traumatisme psychique. Un exposition à long terme à des situations telles que la pauvreté ou autres formes d'agression, comme les agressions verbales, peuvent être traumatisantes.
Cependant, de différents individus peuvent réagir différemment aux événements similaires.
Un individu peut faire l'expérience d'un événement qui lui serait traumatisant alors qu'un autre individu peut ne pas souffrir d'un traumatisme lors du même événement.
Il existe aussi des formes de traumatisme plus courantes et que chacun a pu expérimenter. Par exemple l'accouchement (femme et enfant), ou encore les besoins naturels ou les évolutions physiologiques au cours de la vie d'un individu.
Lorsqu'il y a eu traumatisme psychique, des troubles peuvent apparaître de manière transitoire ou durable.
Pendant l’événement traumatique, le corps réagit : c’est la réaction très courte d’immobilité ou « freezing » du système parasympathique (sidération cognitive, affective et motrice), puis celle de fuite/combat du système sympathique (tachycardie, hyperventilation) pouvant se manifester par des comportements d'agitation, fuite panique, réactions mimétiques, voire des manifestations névrotiques (crise hystérique, phobie) ou psychotiques (délires, désorientation) chez des sujets prédisposés.
Une fois l’événement terminé, survient la phase de réaction du stress aigu (agitation, angoisse, souvenirs intrusifs, absence d’émotions…). Ce sont des réactions normales et naturelles après une expérience traumatique.
Les séquelles à long terme du trauma psychique consistent essentiellement en une dissociation binaire généralisée de la pensée et du comportement, qui fait osciller ceux-ci entre deux excès contraires, ce qui amène à la fois à des dichotomies cognitives radicales ( pensée binaire ou manichéenne ), et à des dissociations comportementales et pulsionnelles (qui sont prises pour une ambivalence constitutionnelle). Cela se traduit en clinique par des alternances ou alternatives de type impulsion / inhibition, auto-obligation / autointerdiction, compulsion irrépressible / blocage incoercible, etc...L'usage normal (adapté et auto-régulé) de la pulsion est désormais exclu ou impossible. La capacité à se défendre (l'usage du "non") étant perdue, c'est le corps qui dit non et qui refuse. C'est le symptôme qui est chargé de traduire la souffrance psychique ( principe de la somatisation). L'"incapacité à" de l'inhibition (névrose) est donc en réalité une "capacité à ne pas" (agir), tandis que réciproquement l'"incapacité à s'empêcher de" , qui caractérise l'impulsivité, est en réalité une "capacité à ne plus (subir)".
Ceci est particulièrement vrai des traumas sexuels infantiles (incestueux ou extrafamiliaux), qui sont responsables de l'immense majorité des symptômes d'inhibition, de compulsion et de perversion sexuelles, observés chez l'adulte, qu'il est possible de rattacher causalement au geste ou à l'acte de l'abuseur dans la plupart des cas.
lundi 28 janvier 2013
Actualité Psychologique : Le Conseillé Conjugal ou Familial
Le conseiller
conjugal et familial est
un professionnel de la relation d'aide qui est spécialisé dans la
relation de couple et les relations intra-familiales.
Il
reçoit des personnes jeunes ou adultes, en couple ou non,
lors d'entretiens individuels, en couple ou en famille, sur des
thématiques conjugales, familiales, ou plus généralement
affectives ou relationnelles.
Son rôle
est d'aider les personnes à faire le point, analyser leur situation,
exprimer leurs sentiments, leurs attentes et leurs besoins, apprendre
à gérer les conflits et à mieux communiquer, trouver des solutions
concrètes, retrouver une nouvelle dynamique relationnelle, à
travers une réflexion et un accompagnement personnalisé.
lundi 17 décembre 2012
Combattre la Dépression Saisonnière par les soins énergétiques
En
plus d’une
stimulation d’énergie, l’harmonisation des énergies permet de
stimuler votre vous intérieur à différents niveaux :
- Envie de Vivre
- Ressentir
- Rayonner, Comprendre
- Aimer
- Communiquer
- Avoir les idées claires
- Croire en sois
Ceci
en vue de vous permettre de compenser la perte d’énergie
que nous subissons pendant la période d’hiver.
La Dépression Saisonnière
Les
troubles affectifs saisonniers (TAS), plus communément nommés la
dépression saisonnière ou encore « SAD » de l’abréviation
anglophone de seasonal affective disorder, se rapportent à une forme
de dépression liée à un manque de luminosité naturelle.
La
dépression débute au changement de saison, lorsque les heures
d’ensoleillements diminuent, le plus souvent l’automne et
l’hiver, pour ne s’estomper que lorsque la saison est terminée.
Une
variante de ce trouble
peut apparaître au printemps. Dans ce cas, le manque de luminosité
n’est plus en cause. Le patient peut se sentir légèrement déprimé
(anxiété, insomnie, manque d’appétit) en voyant son entourage
profiter des beaux jours qui reviennent alors que lui a un sentiment
de solitude rémanent.
Les
troubles de l’humeur peuvent aller d’une simple déprime dans ce
que l’on appelle le « blues hivernal » jusqu’à un véritable
syndrome dépressif.
La
luminothérapie peut-être d’une
utilité à la maison, comme certaines thérapies énergétiques qui
comblent le manque d’énergie.
jeudi 22 novembre 2012
Les Soins Energétiques contre l'Angoisse, le Stress, ...
Les soins énergétiques contre le stress, l’anxiété et les angoisses
Le stress, l’anxiété et l’angoisse sont des moteurs qui peuvent créer différents problèmes comme du surmenage, des tensions dans les bras et les épaules, créer des insomnies, des indigestions, ...
Ils peuvent être causés de différentes manières et par différentes choses qui par la suite, s’accumuler les uns dans les autres et créer des tensions.
Qu’est ce qui peut créer se stress? La manière de vivre actuel, les tensions du travail, de la famille, la circulation urbaine, ...
Le but de la thérapie est un travail qui permet soulager vos tensions, ainsi qu’une harmonisation du corps pour équilibrer vos énergies. Tout ceci dans le but de vous permettre retrouver une vie normale.
Cette thérapie n'est pas un traitement médical mais un accompagnement ou un travail en synergie avec celui-ci.
En aucun cas, arrêter votre traitement médical sans l’avis d’un médecin.
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Institut de Soins Energétiques Savoir & Vivre - http://www.savoiretvivre.com
mercredi 21 novembre 2012
Les Angoisses
Le mot angoisse regroupe plusieurs sens et définitions mais avant tout elle est une expérience « psychométaphysique ».
Avant d'être considérée comme un sujet pour la psychologie, la « santé mentale » et de devenir un marché pour les Pharmas, l'angoisse a été reconnue comme un phénomène humain universel qui plonge ses racines dans la question de l'Être (qui suis-je, d'où est ce que je viens, qu'est ce que l’Éternité, le néant, la mort, etc.).
La psychopathologie de l'angoisse retrouve à un niveau individuel un questionnement universel, les deux sont inséparables même si pratiquement, elles ne doivent pas être confondues.
Saint Augustin, Pascal, Kierkegaard, Heidegger, Jean-Paul Sartre parmi les philosophes et Karl Jaspers et Pierre Janet pour la psychologie, Sigmund Freud pour la psychanalyse ont chacun traité à leur manière cette question de l'angoisse, questions sur la mort, les origines, etc.
L'angoisse n'est ni réductible à une manifestation psychologique ni à une question philosophique, elle est l'une et l'autre dans ses fondements.
En philosophie, le sujet a été traité par plusieurs auteurs et particulièrement l'existentialisme pour lequel elle prend la valeur d'un questionnement sur la condition humaine.
En psychopathologie il désigne un état de mal-être qui se manifeste par une sensation interne d'oppression et de resserrement ressentie au niveau du corps. Ceci s'accompagnant généralement d'une crainte de malheurs ou de mort imminente contre lesquelles le sujet se sent impuissant. L'angoisse n'est pas un signe psychopathologique en lui-même mais le miroir d'un ensemble de phénomènes affectifs ; toutefois, si elle devient trop fréquente voire continue l'angoisse devient un symptôme pouvant être corrélée à d'autres signes particuliers pour former un syndrome, ou se présenter de manière isolée à travers l'anxiété généralisée, ou névrose d'angoisse. Dans certaines situations cliniques, une absence d'angoisse peut-être aussi alarmante qu'un excès.
En psychanalyse freudienne, l'angoisse est à la fois un concept métapsychologique dans la première topique puis, retravaillée dans la deuxième, et dès lors vue comme la manifestation clinique signal d'un conflit intrapsychique.
En philosophie
La notion d'angoisse semble avoir émergé en philosophie avec Kierkegaard (1813-1855) dans son ouvrage l'Idée d'angoisse. Non loin de la définition qu'en fait la psychanalyse elle sera alors fréquemment utilisée par les philosophes contemporains pour désigner un état d'inquiétude métaphysique et morale.
« (…) L'angoisse exprime au niveau de la conscience de soi le vertige de l'individu auquel s'offre une pluralité de possibilités contradictoires : le point origine de notre liberté définit en même temps l'origine du péché et de la culpabilité, et c'est en ce point de rupture que l'homme prend connaissance de lui-même en se prenant en charge. L'existence humaine est ainsi une existence par défaut; c'est pourquoi devant Dieu, nous avons toujours tort (…) »
Georges Gusdorf (1912-2000) à propos de Søren Kierkegaard.
« Les philosophes contemporains, après s'être quelque temps complus dans l'inquiétude, se servent aujourd'hui du mot "angoisse" pour désigner cette conscience de notre destinée personnelle qui nous tire à chaque instant du néant en ouvrant devant nous un avenir où notre existence se décide ».
En psychologie
Comportementaliste
Dans l'approche psychologique inspirée du Béhaviorisme, l'angoisse se définit comme un comportement lié à une émotion durable de peur sans objet externe clairement identifié. Dans cette approche on distingue la Crise d'angoisse de l'attaque de panique. Une crise d'angoisse se caractérise par une période bien délimitée de craintes et de malaises intenses, avec au minimum quatre des symptômes suivants, survenant en moins de dix minutes.
- palpitations, battements de cœur
- transpiration
- tremblements
- impression d'étouffement
- sensation d'étranglement
- douleur, gêne thoracique
- nausée ou gêne abdominale
- sensation de vertige ou d'évanouissement
- déréalisation (sentiment d'irréalité) ou dépersonnalisation (être détaché de soi)
- peur de perdre le contrôle de soi ou de devenir fou
- peur de mourir
- sensations d'engourdissement
- frissons ou bouffées de chaleur
- fatigue
- des pleurs
Parmi les approches symptomatiques - le DSM-IV et la CIM-10 - proposent une catégorie : Trouble de l'anxiété, dont un trouble de l'anxiété généralisée.
Psychanalyse
Les théorisations de l'angoisse de Sigmund Freud se complètent. On distingue généralement deux conceptions de mécanismes intrapsychiques, qui la plupart du temps sont inconscients et n'apparaissent qu'à travers la parole de la cure, le dessin pour les enfants, ou par des médiations plus ou moins sublimées :
la première théorisation considère l'angoisse comme secondaire au refoulement : l'affect sexuel délié de la représentation refoulée est transformé en angoisse.
la seconde considère l'angoisse comme un « signal » devant l'imminence d'un danger notamment interne ; l'angoisse est donc ici un processus de défense mis en place par le Moi, face à l'afflux d'excitation pulsionnelle : l'angoisse précède donc le refoulement dans cette conception.
liée à la précédente, « l'angoisse automatique » est une réaction spontanée de l'organisme devant une situation traumatique, externe ou interne.
On peut distinguer à travers l'analyse des colorations qualitatives de l'angoisse, selon l'objet de crainte :
l'angoisse de castration est propre à la névrose ; la discussion portera par exemple sur la description que fait Freud de l'inconscient comme ignorant la négation – ici « ne pas avoir »
l'angoisse de type dépressif (Donald Winnicott) est la crainte de perdre l'objet (et non nécessairement le phallus), elle se rapporte entre autres à la position dépressive ; elle se retrouve dans les organisations de type borderline, selon Jean Bergeret (psychanalyste) ;
l'angoisse de mort, plus précoce, est de nature psychotique ; elle est liée à l'angoisse de morcellement qui porte plus sur l'être que sur l'avoir ; le psychotique est terrorisé par l'annihilation dont le morcellement est le vecteur.
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mardi 20 novembre 2012
L'Anxiété
L'anxiété est un état psychologique et physiologique caractérisé par des composants somatiques, émotionnels, cognitifs et comportementaux.
En l'absence ou en présence de stress psychologique, l'anxiété peut créer des sentiments de peur, d'inquiétude, de difficulté et de crainte.
L'anxiété est considérée comme une réaction normale dans une situation stressante. Une situation difficile peut aider une personne à lutter contre l'anxiété. Lorsque l'anxiété devient excessive, elle peut être classifiée sous la dénomination de « trouble de l'anxiété ».
L'intensité et le raisonnement derrière l'anxiété déterminent si c'est une réaction normale ou anormale.
L'anxiété est une condition d'humeur généralisée qui peut souvent survenir sans stimulus identifiable. Comme tel, elle est distinguée de la peur, qui est une réponse émotionnelle aux menaces perçues.
De plus, la peur est liée aux comportements spécifiques de la fuite et de l'évitement, alors que l'anxiété est liée aux situations perçues comme étant incontrôlables ou inévitables.
Un point de vue alternatif définit l'anxiété en tant qu'« état d'âme orienté sur le futur durant lequel l'individu s'attend à recevoir des réponses négatives », qui suggère que c'est une distinction entre dangers futurs et dangers présents divisant qui fonde la différence entre l'anxiété et la peur.
Les effets physiques de l'anxiété peuvent inclure palpitations du cœur, faiblesse musculaire et tension, fatigue, nausée, douleur thoracique, dyspnée, douleurs abdominales ou maux de tête.
Le corps se prépare à affronter la peur : la pression artérielle et le rythme cardiaque augmentent, la sueur, le flux sanguin jusqu'aux muscles augmentent, et les fonctions des systèmes immunitaire et digestif diminuent (réponse combat-fuite).
Des signes externes de l'anxiété peuvent inclure une pâleur de la peau, de la transpiration, des tremblements, et la dilatation de la pupille.
Un individu en proie à une anxiété peut également faire l'expérience d'un évitement ou d'une panique.
Bien que les peurs panique ne touchent pas tous les individus souffrant d'anxiété, il existe des symptômes communs. Les peurs paniques surviennent habituellement sans signe précurseur, et bien que cette peur soit souvent irrationnelle, la perception du danger est réelle.
Une personne touchée par la peur panique se sentira souvent comme si elle allait mourir ou s'exposer à un danger.
L'anxiété n'inclut pas seulement des effets physiques mais aussi des effets émotionnels. Ceux-ci incluent des « sentiments d'appréhension ou de menace, des troubles de la concentration, de la tension et nervosité, une anticipation au pire, une irritabilité, une agitation, observer (et attendre) des signes (et actions) de danger, et un sentiment de malaise » aussi bien que des « cauchemars/mauvais rêves, obsessions des sensations, sentiments de déjà-vu, et un sentiment et perception que tout fait peur ». Les effets cognitifs de l'anxiété peuvent inclure des pensées de dangers suspectés, tels que la peur de mourir.
Le comportement peut être affecté sous la forme d'un retrait des situations auxquelles les effets désagréables de l'anxiété ont été ressentis dans le passé. Cela peut également affecter le sommeil et avoir d'autres effets physiques (tels que les rongements d'ongles et autres effets moteurs).
Les troubles anxieux sont très fréquents. Tel qu'il est défini dans le DSM-IV (Manuel diagnostique et Statistique des troubles mentaux), il concerne près de 30 % de la population américaine et son âge d'apparition est 11 ans.
Elle comporte un risque majoré de dépression. Elle est également associée à certaines conduites pouvant générer des problèmes de santé, tel que le tabagisme, l'alcoolisme ou la sédentarité.
La prise en charge en reste très partielle, près de 40 % des Américains souffrant de troubles anxieux ne recevant aucun soin pour cette affection.
Différents types d'anxiété
Anxiété de séparation : Cette anxiété est décrite chez l'enfant, chez lequel elle peut provoquer des troubles importants.
Anxiété de l’existence : Des théoriciens tel Paul Tillich et des psychanalystes comme Sigmund Freud ont décrit ce genre d’anxiété comme le « traumatisme du non-être ». L'être humain arrive à un moment dans sa vie, où il se rend compte qu’il existe la possibilité de cesser d’exister (mourir). Il développe ensuite de l'anxiété envers la réalité et l’existence. D’après Tillich et Freud, la religion devient donc un mécanisme important pour faire face à ce type d’anxiété, puisque bien des religions définissent la mort comme une continuité éternelle et divine de la vie sur terre en opposition à la fin complète de l’existence. Selon Viktor Frankl, auteur du livre Man’s Search for Meaning (en anglais), l’instinct de l'être humain en face d'un danger mortel est de rechercher un sens de la vie pour combattre ce « traumatisme du non-être » à l’approche de la mort, lorsque la tentation d’y succomber (même par le suicide) est très forte.
Anxiété due aux examens : L’anxiété due aux examens peut se manifester comme une sensation de malaise, d’appréhension ou de peur chez des étudiants qui craignent d’échouer à un examen.
Anxiété sociale : Cette anxiété existe à divers degrés chez beaucoup de personnes. Par exemple, le trac des artistes en représentation. Quand elle consiste en une peur persistante et intense d'une ou de plusieurs situations sociales ou de performance qui peuvent exposer la personne à l'observation attentive d'autrui, on parle de phobie sociale, mais ce n’est pas une phobie dans son sens traditionnel.
L'anxiété des malades : Certains chercheurs suggèrent qu’on peut améliorer la qualité de la vie des patients du cancer en prenant en charge leur anxiété. Cette forme de traitement comprend généralement de l’aide psychosociale, des techniques de détente ou bien l’utilisation des benzodiazépines.
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lundi 19 novembre 2012
Le Stress
Le stress (issu par l'anglais de l'ancien français destresse) est, en biologie, l'ensemble des réponses d'un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement.
Ces réponses dépendent toujours de la perception qu'a l'individu des pressions qu'il ressent.
Selon la définition médicale, il s'agit d'une séquence complexe d’événements provoquant des réponses physiologiques, psychosomatiques.
Par extension tous ces événements sont également qualifiés de stress. Dans le langage courant, on parle de stress positif (eustress en anglais) ou négatif (distress). Le stress est différent de l'anxiété, celle-ci est une émotion alors que le stress est un mécanisme de réponse pouvant amener différentes émotions, dont l'anxiété.
La notion de stress a été introduite par l'endocrinologue Hans Selye, qui publie en 1956 The stress of life (Le Stress de la vie). Il y décrit le mécanisme du syndrome d'adaptation, c'est-à-dire l’ensemble des modifications qui permettent à un organisme de supporter les conséquences d’un traumatisme naturel ou opératoire. Il publie par la suite Stress without distress en 1974, (Le Stress sans détresse) et son autobiographie The stress of my life (1977).
L'idée du concept de stress et de syndrome général d'adaptation lui est venue en 1925 alors qu'il étudiait la médecine à l'Université de Prague.
D'après Hans Selye, le syndrome de stress évolue en suivant trois stades successifs :
1. « Réaction d'alarme » : les forces de défense sont mobilisées
2. « Stade de résistance » : adaptation à l'agent stressant
3. « Stade d'épuisement » : inexorablement atteint si l'agent stressant est suffisamment puissant et agit longtemps.
Un événement stressant provoque une réaction en chaîne qui débute dans le cerveau et aboutit à la production de cortisol par les glandes surrénales. Le cortisol active alors en retour deux zones du cerveau : le cortex cérébral pour qu'il réagisse au stimulus stressant (fuite, attaque, immobilisation...) et l'hippocampe, qui va apaiser la réaction. Si le stress est trop fort ou prolongé, l'hippocampe saturé de cortisol ne peut plus assurer la régulation. Le cortisol envahit le cerveau et installe une dépression. Les zones altérées sont principalement l'hippocampe3, l'amygdale, le cortex cingulaire antérieur et le cortex préfrontal.
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vendredi 12 octobre 2012
Traiter la Dépression par l’Harmonisation des Energies
Une approche à la dépression par un travail sur les énergies.
Cette thérapie a pour but premier de stimuler le corps et l’esprit, tout en apportant plus de forme et de tonus.
Par son action, elle travail sur :
- L’envie de vivre, de faire des activités, d’avoir des passions, …
- Ressentir la vie et les événements qui se déroulent autour de nous
- Le rayonnement et la compréhension dans la vie
- L’amour, partager, donner, recevoir, …
- Communiquer et exprimer ses peines comme ses joies
- Avoir les idées claires, détendues, prendre la vie avec réflexion
- Croire en soi, qu’on est capable de mener sa vie et de vivre heureux
Pendant la thérapie, un dossier est effectué pour connaître votre vie, votre vécu, votre façon de voir les choses, ceci dans le but d’apprendre à vous connaître.
Au fur et à mesure des séances, nous verrons les changements et ainsi mieux procédé à la suite du traitement.
Cette pratique peut aussi vous aider pour éviter la dépression saisonnière.
Cette thérapie n'est pas un traitement médical mais un accompagnement ou un travail en synergie avec celui-ci.
En aucun cas, arrêter votre traitement médical sans l’avis d’un médecin.
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Dépression Nerveuse, Traitements et Préventions
En prévention, sur le marché, il existe beaucoup de compléments alimentaires pouvant vous aider à vous changer les idées et ne pas sombrer dans la dépression. Pour plus de renseignements et pour être sur d’être conseillé sur le produits adéquat, renseignez vous à votre magasin ou chez votre pharmacien.
Les traitements possibles pour la dépression sont variés. Dans la médecine traditionnelle, ils incluent une approche par la pharmacopée, notamment un traitement médicamenteux par antidépresseurs et/ou par la relation psychothérapeutique124. La médication peut être orientée sur le traitement de causes annexes ou de complications, comme par exemple des troubles du sommeil ou l'anxiété. Les formes de relations psychothérapeutiques indiquées sont variées. Sont communes par exemple la psychothérapie psychanalytique (cure psychanalytique, psychothérapie dynamique), la thérapie cognitivo-comportementale, la psychothérapie de soutien ou encore la psychothérapie institutionnelle. Des traitements alternatifs prévoient une approche par différents biais, comme par l'approche corporelle (ECT ou TMS), la relaxation, la sophrologie, la pensée positive ou encore l'hypnose. Les dépressions ne sont pas traîtées de la même manière en fonction des âges de la vie, chez le nourrisson, l'enfant, l'adolescent, l'adulte ou la personne âgée ou en fonction des étiologies.
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jeudi 11 octobre 2012
La dépression à travers le monde
La dépression est une cause majeure de morbidité à travers le monde.
La durée de vie varie grandement, de 3 % au Japon à 17 % aux États-Unis.
Dans la plupart des pays, le nombre d'individus souffrant de dépression durant leur vie tombe à 8–12 %.
En Amérique du Nord, la probabilité d'être atteint de dépression majeure durant une période de plus d'un an s'élève à 3–5 % chez les hommes et 8–10 % chez les femmes.
Des études sur la population ont constamment montrées qu'une dépression majeure peut atteindre en moyenne deux fois plus les femmes que les hommes.
En France, la dépression frappe chaque année 3 millions de personnes âgés de 15 à 75 ans — soit 8 % de la population — (deux fois plus de femmes que d'hommes117).
Sachant qu'un cas sur deux n'est pas soigné, ce chiffre progresse avec la précarité, le vieillissement et la solitude.
Selon certaines études, cette très grande fréquence des symptômes, indique la difficulté à classifier dans un épisode existentiel de remise en cause, de souffrance, de perte, ou bien dans une maladie organique.
Selon des études, en termes d'incapacité de travail chez l'adulte, la dépression occupe la quatrième place (en nombre d'années d'incapacité) au niveau mondial et pourrait se placer à la seconde place dans les années 2020, juste après les maladies cardio-vasculaires.
Les individus tiendraient à souffrir de leur premier épisode dépressif entre 30 et 40 ans, et il y un second et moins intense pic, entre 50 et 60 ans.
Le risque d'une dépression majeure augmente dans des conditions neurologiques incluant accident vasculaire cérébral, maladie de Parkinson ou sclérose en plaques et durant la première année après accouchement.
Tout au long de la semaine, retrouvez la suite de ce dossier sur la dépression :
- Dépression, traitements et préventions
- Traiter la Dépression par l’harmonisation des énergies
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mercredi 10 octobre 2012
La dépression au fil de notre vie
Chez le bébé
Des tableaux de dépression graves, pouvant mettre en jeu le pronostic vital, ont été décrits depuis les années 1950 chez les bébés, notamment après de brutales pertes parentales.
René Spitz a ainsi défini l'hospitalisme, état survenant lors d'une séparation brutale avec les parents, passant par une phase de pleurnichements, puis une phase de protestation, glapissement, perte rapide de poids, arrêt du développement ; puis une troisième phase de désinvestissement du monde qui l'entoure et de retrait conduisant à ce que Spitz a nommé la dépression anaclitique.
Ce tableau clinique peut régresser si des mesures adéquates sont prises rapidement.
S'il se prolonge, il peut être à l'origine de troubles intellectuels, des apprentissages, de difficultés psychologiques, avec une plus grande vulnérabilité aux séparations, réalisant des tableaux carentiels dont le risque évolutif est lourd.
Ce type de diagnostic doit être posé avec précaution. En particulier le diagnostic différentiel avec les troubles apparentés à l'autisme doit être évoqué.
Enfance
La dépression peut se manifester chez les enfants subissant un ou plusieurs troubles dans leur vie.
Bien qu'il soit commun chez les enfants et adolescents de se sentir parfois tristes, un groupuscule de jeunes fait l'expérience d'un phénomène symptomatique de dépression.
De si jeunes individus, souvent perçus comme cliniquement dépressifs, se sentent tristes, sans espoir, ou irrités durant des mois, voire des années. Ils peuvent perdre goût à leurs activités habituelles (ex. jouer avec d'autres copains), leurs habitudes alimentaires et leur sommeil (ex. ils peuvent dormir plus ou moins que d'habitude) et ils peuvent souffrir de trouble de l'attention, même lors de programmes télévisés ou durant une partie de jeux vidéo.
Les enfants dépressifs sont souvent exposés à une humeur plus irritable que dépressive et exposent une variante de symptômes selon leur âge et leur situation.
Bon nombre d'entre eux perdent leur attention durant leur scolarité et montrent des résultats scolaires en déclin.
Cette dépression peut également coexister avec le trouble du déficit de l'attention (TDA), compliquant le diagnostic et le traitement de ces deux psychopathologies.
Lors de cas particuliers, les jeunes individus cliniquement dépressifs pensent ou parlent beaucoup de la mort et certains enfants dépressifs pensent spécifiquement à se blesser ou à se tuer.
Souvent, les enfants et adolescents peuvent avoir des symptômes similaires lorsqu'ils perdent un proche. Dans la dépression clinique, cependant, ces pensées et sentiments tentent à apparaître même lorsque l'enfant ne perçoit aucun événement triste.
Adolescence
La dépression à l'adolescence se manifeste, à l'instar de celle de l'enfant, très différemment de celle de l'adulte.
La puberté a apporté son lot de changements physiques que l'adolescence intégrera ou pas, ou plus ou moins sur le plan psychologique. Une attention se porte aux risques de passages à l'acte suicidaire.
Plus que jamais, le clinicien doit éviter de se fier aux apparences, une attitude arrogante peut par exemple cacher un profond mépris de soi et de ses capacités, notamment au niveau scolaire.
Des conduites addictives de toutes sortes, des troubles des conduites alimentaires, des fugues, de la violence verbale et/ou physique, etc. peuvent être des tentatives défensives pour lutter contre la dépression ou la mélancolie.
Sur le plan comportemental, les troubles sont ainsi énumérés, conformément aux classifications DSM et CIM : un trouble de l'humeur avec sentiment d'ennui, irritabilité (concernant tout l'entourage), voire hostilité et opposition, impulsivité, agressivité. Il est parfois question de dépression hostile. Le dialogue devient vite impossible, remplacé par les pleurs.
Une tendance à l'inhibition, une anhédonie, avec désinvestissement des loisirs et des relations qui étaient investis jusque là sont également observé ; des troubles somatiques : céphalées, insomnie, hypersomnie ou clinophilie, anorexie ou au contraire augmentation de l'appétit, parfois avec des crises de boulimie ; des troubles anxieux fréquemment associés : phobie sociale, attaque de panique, trouble obsessionnel compulsif, des troubles intellectuels : incapacité à penser (l'individu voit les choses mais ne ressent aucun élément positif ou négatif, n'a aucun avis...).
Une thérapie familiale et systémique ou psychanalytique est parfois indiquée, elle permet notamment à l'adolescent de ne pas se sentir seul en cause.
Il est parfois difficile de faire la différence entre une dépression et un simple moment évolutif de l'adolescence, et le recours à des spécialistes est préconisé.
C'est d'autant plus difficile que l'adolescent tend à banaliser sa situation, soit par honte soit par sentiment de désespoir (personne ne le comprendra), soit parce qu'il ne perçoit pas ou mal son sentiment et son vécu intérieurs.
C'est la clinique menée par le psychopathologue qui permet de différencier une dépression de l'autre et de mesurer sa gravité.
Les tenants des TCC préfèrent utiliser des test randomisés comme le Beck qui permet de rechercher alors ce qui est désigné comme une triade.
Aux questions suivantes, le sujet répond généralement ainsi : « Que veux-tu faire ? », « Rien, je ne suis bon à rien ! », « Tu regardes un peu les informations à la télévision ? », « Non c’est nul ! » ; « Tu sais ce que tu veux faire plus tard ? », « Non… ! » ; « Qu'en penses-tu ? », « Rien, je ne sais pas ». Ces trois réponses souligneraient que pour cet adolescent, tout est nul, sans valeur : lui, le monde, et surtout l'avenir.
Un dialogue attentif et mené avec tact par le clinicien peut permettre à l'adolescent de comprendre ce qui lui arrive et de le surmonter.
Ceci peut se faire dans le cadre du cabinet de son médecin (mais il ne faut pas oublier que cet âge est difficile pour le pédiatre qui a de la peine à ne pas voir en l'adolescent qu'il a en face de lui, l'enfant qu'il connaissait mais qui a changé).
C'est donc aussi une période où il peut être utile pour l'adolescent de changer de médecin, ceci en dehors du fait qu'une démarche psychothérapeutique soit entreprise ou non.
Dans la mesure où l'adolescent peut y adhérer suffisamment, une psychothérapie, psychanalytique ou pas, peut y être intégrée.
Parfois, dans des cas graves, une hospitalisation psychiatrique peut être nécessaire et salutaire. Il ne faut pas non plus oublier qu'une « crise d'adolescence » sous-tendue par une dépression peut aussi inaugurer des changements positifs et une réorganisation psychique plus intégrée.
La clinique de l'adolescent oscille toujours entre le risque de dramatiser et celui de banaliser, c'est sa difficulté et son intérêt.
Âge adulte
Les signes plus spécifiquement retrouvés chez l'adulte peuvent être des troubles de la sexualité, une baisse de la libido, une impuissance sexuelle.
Chez la future ou la nouvelle mère, les signes en rapport avec une dépression périnatale peuvent être observés.
Il est estimé que seulement 10 % des hommes souffrant d'une carence en testostérone sont diagnostiqués et traités ; cette condition toucherait jusqu'à 10 % des hommes âgés entre 40 et 70 ans et un plus large pourcentage chez ceux qui souffrent d'obésité ou de diabète.
Le manque de testostérone est fréquemment diagnostiqué comme une dépression ou une conséquence normale du vieillissement.
Un examen de la dépression chez les femmes indique que les facteurs d'exposition — tels qu'une perte de grossesse maternelle, un manque de confidentialité dans leur couple, une responsabilité prématurée à la maison et le chômage — peuvent interagir avec leurs habitudes et ainsi engendrer un risque de dépression.
Personnes âgées
En Europe, la prévalence de la dépression est comprise entre 9 % et 24 % de la population âgée selon les pays.
Par sa fréquence et ses conséquence, la dépression est une pathologie lourde qui constitue une cause majeure de souffrance chez les personnes âgées, avec le risque si elle est non traitée qu’elle devienne chronique.
Malheureusement, la dépression de la personne âgée est encore souvent banalisée, comme inhérente au vieillissement, ou traitée de façon insuffisante.
Les causes de la dépression de la personne âgée sont multiples, mais parmi les personnes déprimées à l'âge avancé, nombreuses sont celles qui ont déjà connu un épisode de dépression lorsqu’elles étaient plus jeunes.
Au plan clinique, cette maladie est composée de troubles de la cognition(pensées négatives, troubles de concentration, pertes de mémoire), émotionnels (tristesse, irritabilité, apathie) et comportementaux (plaintes somatiques, repli sur soi, asthénie, anhédonie, ralentissement psychomoteur).
La dépression coexiste souvent avec des troubles physiques communs parmi les personnes âgées incluant accident vasculaire cérébral, autre maladies cardiovasculaires, maladie de Parkinson et broncho-pneumopathie chronique obstructive.
Pour les jeunes seniors, les facteurs sont souvent les problèmes de santé, des changements dans la structure du couple, la mort d'un membre proche ou un changement dans la disponibilité ou la qualité de la vie sociale qui peuvent engendrer des épisodes dépressifs aigus ou chroniques.
Les maladies chroniques (diabètes, obésité, cachexie, arthrite, ostéoporose, maladies coronariennes, etc.), plus fréquentes avec l'âge, sont associées à des processus inflammatoires qui affectent la régulation de l'humeur, indépendamment de la perception subjective que la personne a de sa condition.
Tout au long de la semaine, retrouvez la suite de ce dossier sur la dépression :
- La Dépression autour du Monde
- Dépression, traitements et préventions
- Traiter la Dépression par l’harmonisation des énergies
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mardi 9 octobre 2012
Les hypothèses et recherches effectuées sur la dépression
L'empathie serait un facteur prédisposant à la dépression.
La recherche sur l'empathie, une notion particulièrement étudiée depuis la découverte des neurones miroirs, a mis au jour une corrélation entre la capacité d'un sujet à ressentir de la peine pour autrui et sa tendance à la dépression.
Cette corrélation serait expliquée par une tendance chez les personnes sujettes à la dépression à s'attribuer une responsabilité morale pour les maux d'autrui.
Selon certains, cela expliquerait également la plus forte incidence de la dépression chez les femmes. Les enfants pourvus d'une plus grande empathie sont plus portés à développer plus de jugements moraux et, ultérieurement, des tendances dépressives.
La dépression est définie et ressentie différemment selon les cultures. Un cas particulièrement polémique concerne la différence entre les Orientaux et les Occidentaux dans leur manière de vivre et de décrire leur état.
Selon les statistiques mondiales du Global Burden of Disease project, les taux de dépression étaient 4 fois moins élevés en Chine qu'aux États-Unis en 1996.
Dans une étude de 1982, Kleinman et collègues avaient mis en évidence que, chez 100 patients chinois neurasthéniques, 87 % souffraient d'une forme ou d'une autre de dépression mais seuls 9 % des patients avaient des troubles de l'humeur, alors que les céphalées, l'insomnie, les vertiges et les douleurs avaient été rapportées dans 90, 78, 73 et 49 % des cas, respectivement.
Plusieurs ont spéculé que les Orientaux somatisaient leur dépression. Cependant, l'ethnocentrisme d'un tel jugement a amené certains chercheurs, tant Orientaux qu'Occidentaux, à conclure que si les cultures orientales étaient portées à somatiser la dépression, les cultures occidentales étaient en fait plus portées à la psychologiser.
Tout au long de la semaine, retrouvez la suite de ce dossier sur la dépression :
- La Dépression au fil de notre vie
- La Dépression autour du Monde
- Dépression, traitements et préventions
- Traiter la Dépression par l’harmonisation des énergies
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lundi 8 octobre 2012
La Dépression Nerveuse
Cette semaine, un grand dossier sur la dépression vous est consacré.
En psychiatrie et en psychologie, la dépression est un trouble de l'humeur. Le terme provient du latin depression, « enfoncement ». C'est autour du xixe siècle que le terme est apparu dans son usage psychologique.
La dépression caractérise essentiellement un état de perte de motivation ou d'élan vital chez un individu, associé ou non à différents symptômes. Les symptômes les plus caractéristiques sont une perte d'espoir, d'envie, d'estime de soi. D'autres signes peuvent survenir, tels que l'anxiété ou l'angoisse, la fatigue, la tristesse, des pensées négatives, des idées noires, des intentions suicidaires ou d'autres modifications de l'humeur et, dans certains cas extrêmes, des hallucinations.
La littérature médicale décline le terme de dépression sous les appellations « trouble dépressif récurrent », « dépression nerveuse », « dépression clinique », « dépression unipolaire », « épisode dépressif majeur et caractérisé » ou encore « syndrome dépressif ». L'appellation les dépressions désigne l'ensemble des types de dépression. Les termes dépressivité ou sentiment dépressif sont usités. Le langage courant évoque également la déprime, qui présente des symptômes similaires, mais cependant plus atténués.
La dépression au sens médical diffère de la notion de dépression en psychanalyse, qui fait référence à un registre de psychopathologie psychanalytique.
Le diagnostic du trouble dépressif majeur est basé sur le vécu du patient. Il n'existe aucun test de laboratoire de la dépression clinique, mais les médecins demanderont généralement des tests permettant d'exclure des conditions pouvant provoquer des symptômes similaires (diagnostics différentiels). Si la dépression n'est pas détectée à temps, cela peut entraîner un état dépressif stagnant nocif à la santé physique ou mentale de l'individu. Un outil tel que l'inventaire de dépression de Beck peut être utilisé pour détecter une dépression majeure. La dépression majeure peut frapper n'importe qui.
La dépression est souvent multifactorielle et ses causes généralement multiples. La dépression peut être liée à un ou plusieurs événements traumatiques ou vécus comme négatifs (chagrin, deuil, crise situationnelle, stress) ou à un environnement psychosocial ou familial hostile. Elle peut s'associer à un autre trouble psychiatrique ou à une affection somatique.
Les connaissances sur la nature et les causes de la dépression ont largement évolué à travers les siècles, mais elles demeurent incomplètes ; la recherche sur la dépression est actuellement un domaine d'étude actif et diversifié. Les facteurs impliqués peuvent être psychologiques, psychosociaux, héréditaires, évolutionnaires, biologiques, spirituels, environnementaux, notamment, et ils peuvent interagir. L'utilisation prolongée de certains types de substances psychoactives ou psychotropes (alcool, café, tabac, drogues, médicaments) peuvent augmenter la symptomatologie dépressive. Les traitements psychothérapeutiques sont basés sur des théories de la personnalité, de la communication interpersonnelle de la relation d'aide ou de l'apprentissage.
Tout au long de la semaine, retrouvez la suite de ce dossier sur la dépression :
- Les hypothèses et recherches effectués sur la Dépression
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- La Dépression autour du Monde
- Dépression, traitements et préventions
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vendredi 7 septembre 2012
La souffrance des plus petits mérite d’être reconnu.
Voici septembre, avec sa rentrée des classes et nous pensons que ce petit article a son importance en cette période.
Combien de parents peuvent dire « Mon enfant est malheureux » et pourtant, même chez l’enfant, les sentiments sont là, bien présent et parfois beaucoup plus faibles qu’une personne adulte, par son innocence.
Heureusement, l’acte de suicide chez un enfant est rarement menée à terme, mais ce n’est pas pour autant que cela ne jouera pas sur ses comportements, sa scolarité, ou des réactions démonstratives comme le vol ou la délinquance, donc si vous voyez votre enfant commettre de tels actes, la première question à se poser est pourquoi, avant d'agir en fonction du trouble qu’il aura provoqué.
L’enfant, en dessous de l’âge de 5 ans est incapable de représenter la mort telle quelle est, ce n’est pas pour autant que celui-ci ne ressent pas les choses qui se passent autour de lui et n’éprouve pas de sentiments.
Au dessus de cet âge, les notions de vie lui parait plus clair dans le principe que tous le monde meurt un jour et quand on est mort, on est mort.
Les tentatives de suicides ou les jeux avec la vie doivent être considérés comme des appels.
Les actes de délinquances ou crise d’humeur sont aussi des appels à des demandes particulières.
Les parents ou la famille vivant ensemble on parfois plus dur à voir les problèmes qui se déroulent dans leur quotidien, donc n’hésitez pas aussi à aller chercher une aide extérieur.
Parler est la meilleure façon de comparer.
Gardons leur état d'esprit !
Le corps et l’esprit sont reliés ensemble, et notre évolution se marque dans les mémoires de notre vie.
Une personne qui aura vécu une enfance malheureuse n'aura t'elle pas plus dur dans sa vie d'adulte?
Il faut penser au moment présent ce qui peut se répercuter sur leurs avenirs.
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Christian Vankoekelbergh - Soins Energétiques - www.savoiretvivre.com
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