Voici septembre, avec sa rentrée des classes et nous pensons que ce petit article a son importance en cette période.
Combien de parents peuvent dire « Mon enfant est malheureux » et pourtant, même chez l’enfant, les sentiments sont là, bien présent et parfois beaucoup plus faibles qu’une personne adulte, par son innocence.
Heureusement, l’acte de suicide chez un enfant est rarement menée à terme, mais ce n’est pas pour autant que cela ne jouera pas sur ses comportements, sa scolarité, ou des réactions démonstratives comme le vol ou la délinquance, donc si vous voyez votre enfant commettre de tels actes, la première question à se poser est pourquoi, avant d'agir en fonction du trouble qu’il aura provoqué.
L’enfant, en dessous de l’âge de 5 ans est incapable de représenter la mort telle quelle est, ce n’est pas pour autant que celui-ci ne ressent pas les choses qui se passent autour de lui et n’éprouve pas de sentiments.
Au dessus de cet âge, les notions de vie lui parait plus clair dans le principe que tous le monde meurt un jour et quand on est mort, on est mort.
Les tentatives de suicides ou les jeux avec la vie doivent être considérés comme des appels.
Les actes de délinquances ou crise d’humeur sont aussi des appels à des demandes particulières.
Les parents ou la famille vivant ensemble on parfois plus dur à voir les problèmes qui se déroulent dans leur quotidien, donc n’hésitez pas aussi à aller chercher une aide extérieur.
Parler est la meilleure façon de comparer.
Gardons leur état d'esprit !
Le corps et l’esprit sont reliés ensemble, et notre évolution se marque dans les mémoires de notre vie.
Une personne qui aura vécu une enfance malheureuse n'aura t'elle pas plus dur dans sa vie d'adulte?
Il faut penser au moment présent ce qui peut se répercuter sur leurs avenirs.
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